Miradas est un spectacle de rue et d'espace non conventionnel pour tous les publics, mettant en vedette une fusion de danse urbaine, de break dance et de danse contemporaine.
Les regards se croisent, dans tous ces endroits où nous sommes, nous devenons spectateurs, ou nous sommes protagonistes.
Tous les instants de notre vie passent par le regard, les yeux de l'autre.
Nous vivons à une époque où le regard est la clé de beaucoup de choses qui nous arrivent et notre regard est notre plus grand catalyseur.
C'est notre sens le meilleur et le plus développé, sans lui nous serions perdus en ce moment, vivant et désirant seulement à travers nos yeux.
Ce regard devient dans bien des cas un lieu de désir pour l'extraterrestre.
Étude 3 : Apparence, présente une histoire qui nous est arrivée à tous, et comment, malgré qui vous êtes, ce regard vous amène à rencontrer l'autre, simplement, par la force qu'il exerce.
Le spectacle se veut ludique et captivant, empreint d'émotion, sans aucun élément scénique, juste le corps et une belle histoire. S'appuyant sur la sémiotique du corps, il canalise l'énergie de deux corps, la capte et fait du public le réceptacle et le protagoniste.
La pièce réserve une surprise : l’un des protagonistes de l’histoire se trouve parmi le public. Le spectateur est donc surpris par cette présence et par la présence d’un des spectateurs. En suscitant l’identification du public à l’histoire, la fin est surprenante. En réussissant à travailler sur le concept même de la rue : qui est le spectateur et qui est le protagoniste ?
Direction artistique et chorégraphie : Alicia Soto
Danseurs-interprètes : Itzel Vela, Alicia Soto, Lucas García
Création musicale : Luis la Forga
Photographie et vidéo : Luis Antonio Barajas
Design créatif : José Navarro
Communication : Presse Citron
Production : Paloma Calderón
Administration : Sofía García Fernández, Virginia Grigelmo Direction : João Sousa Marques
Armoire : Co. Litière de feuilles Alicia Soto
Première à la 19e Foire du Théâtre de Castille-et-León, Ciudad Rodrigo, Salamanque
L'étude 3 : Regards fait partie du projet « Cartographie du corps dans un espace architectural ». Elle est précédée de deux autres études très réussies : « Étude d'inconfort 1 : Nocturne pour salon » et « Étude 2 : Silence ». Cette troisième étude explore les mêmes concepts clés que le projet « Cartographie du corps dans un espace architectural » :
✓ L’architecture sera n’importe quel espace urbain, une place, une rue, un parc.
✓ Le son suit la présence du silence combinée à la musique actuelle, à la musique électronique et à la musique hip hop.
✓ Et l'intervention du public, dans ce cas le public participe très activement, étant celui qui génère le début de la première partie du spectacle, laissant une partition chorégraphique ouverte à la réponse du public.
L’œuvre chorégraphique continue d’explorer le concept d’émotion et la sémiotique du corps, en éliminant tout élément scénographique ; cette œuvre est un dialogue, corps à corps.
Recherche sur la fusion du langage du breakdanceur avec celui de la danse contemporaine. Et comment fusionner les deux langages au sein d'une même chorégraphie sans créer de ruptures.
D'autre part, cette œuvre vise à promouvoir la danse contemporaine en la rapprochant du langage actuel des jeunes : la danse urbaine. Elle vise à réunir et à faire découvrir au spectateur deux langages de danse très différents.
C'est un dialogue entre, d'une part, le langage du breakdanceur et la danse contemporaine de la ballerine. Tous deux s'expriment différemment, pour finalement trouver un dialogue commun, un duo, mêlant leurs disciplines pour communiquer.
L'histoire du spectacle s'inspire de l'exposition de breakdance dans la rue. Elle part du travail du danseur qui a commencé et continue d'exprimer son expression artistique dans la rue, pour le plus grand plaisir de tous ceux qui souhaitent s'arrêter et contempler son art, sans autre soutien que celui de leur passer un chapeau. Nous ajouterons un clin d'œil à la réalité des danseurs d'aujourd'hui : le danseur montre aux spectateurs une pancarte sur laquelle est écrit : « Danseur au chômage, je me déplace pour une pièce. »
C'est ainsi que commence cette histoire, une histoire simple et quotidienne que nous avons tous vécue.
Pour l'instant, aucune nouvelle session n'est prévue
Nous vous informerons une fois par mois des activités de l'entreprise.